Ce n’est pas un cri ou une gifle. Parfois, la violence prend un masque beaucoup plus doux, insidieux, silencieux.
👉 Ce genre de violence psychologique ne te saute pas au visage, mais elle te grignote de l’intérieur.
Elle se cache dans les silences lourds, dans les petits mots banalisés, dans les soupirs désapprobateurs.
Tu ne la vois pas tout de suite, parce qu’elle est faite de doutes, de culpabilité, de manipulations subtiles.
Tu penses que c’est toi le problème.
Parce que c’est souvent comme ça que ça commence.
Pas avec des cris.
Pas avec des gifles.
Pas avec des menaces.
Mais avec des silences.
Avec des “tu dramatises toujours tout”.
Avec des regards qui veulent te faire taire sans un mot.
Avec cette impression constante que tu es “trop”.
Trop sensible.
Trop chiante.
Trop exigeante.
Trop émotive.
Trop fragile.
💥 La violence, parfois, c’est une main qui serre ton bras un peu trop fort… en public… mais avec le sourire.
💥 C’est un message lu, jamais répondu. Un « j’étais occupé » qui revient comme un refrain.
💥 C’est cette façon qu’il ou elle a de souffler quand tu parles. Comme si tu l’ennuyais.
💥 C’est ton cœur qui bat trop vite quand tu dois lui annoncer une “mauvaise” nouvelle… alors que t’as rien fait de mal.
💥 C’est ce malaise que tu n’arrives pas à nommer, mais qui te ronge de l’intérieur.
Et puis tu doutes.
Tu cherches des excuses.
Tu regardes autour de toi et tu te dis : « il y a pire, non ? »
Oui, il y a pire.
Mais ça ne rend pas ce que tu vis normal pour autant.
Parce que la violence psychologique douce ne te met pas des bleus sur la peau. Elle te fait douter de ton ressenti, de ton intuition, de ta valeur.
💥 C’est une main posée un peu trop fermement sur ton épaule.
💥 Un regard qui te fait sentir que tu en demandes trop.
💥 Une phrase qui te coupe la parole, ou te laisse croire que tu « dramatise tout ».
Et pourtant…
Ce n’est pas parce que ça ne crie pas que ce n’est pas violent.
Ce n’est pas parce que ça ne fait pas de bruit que ça ne détruit pas.
Je te propose un exercice très simple mais profond :
La liste de tes petites trahisons personnelles
Note sur papier ces moments où tu t’es trahi·e toi-même pour garder le lien avec quelqu’un :
Puis pose-toi cette question :
Et si ça, c’était aussi une forme de violence ?
🧡 Tu n’es pas seul·e.
Choisissez un travail que vous aimez et vous n'aurez plus à travailler un seul jour de votre vie.
Je peux agir sur moi et sur les choses qui sont sous mon contrôle à 100%
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